Les collégiales royales et leurs clercs sous le gouvernement capétien
Quentin Griffiths
Quentin Griffiths, Les collégiales royales et leurs clercs sous le gouvernement capétien, dans Francia - Forschungen zur westeuropäischen Geschichte, vol. 18/1 (1991), p. 93-110.
Extrait de l’article
Trois églises collégiales fournirent presque tous les premiers clercs du roi, et les plus actifs au Parlement et à la chancellerie capétienne. Le but de cette enquête est de montrer la place prise par ces églises, de saint Louis jusqu’à la fin de la dynastie, en 1328, non seulement comme centre économique, mais aussi comme champ de formation et modèle pour la monarchie administrative naissante. Elles fournissaient les bénéfices qui facilitaient les études des étudiants en droit, ou qui les récompensaient lorsque leur cursus universitaire était achevé. Ces trois églises étaient Saint-Martin de Tours, Saint-Aignan d’Orléans et Saint-Frambaud de Senlis ; il faut y ajouter deux autres églises seulement, situées en Vermandois, et pour quelques temps l’église cathédrale de Bayeux.
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